Ce matin, au CDI, j'ai trouvé dans une revue économique un tract de l'UMP sur les retraites. Fâché de cela, j'écris un article de plus afin d'informer mes "amis facebook" contre l'intoxication umpiste.
J'ai donné jusqu'ici les arguments de la gauche, si bien que même les socio-démocrates, le PS, les utilisent. Il faut en donner d'avantage, mais la question est de savoir si, oui ou non, il y a un remède communiste à nos problèmes.
Notre doctrine peut être résumé par "suppression de la propriété privée", certes, mais K.Marx nous permet également d'aller plus loin. On peut donc trouver des solutions communistes au sein de l'économie de marché. Mais celles-ci sont également applicable, en plus d'autre, dans une configuration plus Marxiste de la société.
Au sein de l'économie de marché, on peut introduire le communisme pas à pas, en plusieurs mesures. Les méthodes du mouvement ouvrier, et c'est ce qui fait de lui un mouvement juste, consiste à faire payer ceux qui ont de l'argent, c'est à dire, trouver l'argent où il y en a.
Le financement se fait par des entrées d'argent, comme par exemple, les impôts. Une des solutions peut être, par exemple, une hausse de l'ISF. L'argent immobilisé dans des caisses des bourgeois (terme à prendre au sens marxiste du terme) sera probablement plus utile à l'Etat qu'à eux. Moult impôts injuste demeurent. Chacun sera d'accord avec moi si je vous en parlait d'un qui fait autant payer le milliardaire que le prolétaire. Il en existe pourtant ; son nom est TVA. On peut proposer une suppression de la TVA, ce qui engendrerait une répartition de celle-ci dans d'autres impôts plus justes : proportionnels aux salaires.
On s'est rarement posé la question de savoir qu'est-ce qui paye les retraites. Contrairement à ce qui est clamé, ce n'est pas le nombre de salarié, mais la richesse qu'ils produisent. Puisque ceux-ci ont augmenté leur productivité, pourquoi ne pas augmenter leurs salaires? Ainsi, payés plus, ils cotiseraient plus, et il y aurait plus d'argent dans les caisses de la sécurité sociale.
Tout cela est une question de répartition des richesses. Mais en plus de la répartition, les solutions, qui certes, semblent de plus en plus radicales, peuvent s'accumuler.
Chacun sait que le communisme est en partit fait de nationalisation, ce qui supprime l'économie de marché. Les avantages tirés de cela sur le point du financement sont à observer.
Le privé est le seul à faire des licenciement à une telle intensité. Cela peut s'expliquer par le coût de l'investissement dans le travailleur, opposé à la recherche du profit de l'entreprise occasionné par la concurrence créée par l'économie de marché. Une entreprise publique unique n'a pas de concurrence à l'échelle nationale et peut utiliser le temps gagné sur le profit à être constructif des points de vues social et économique, comme la réduction du chômage.
Le profit de l'économie de marché engendre également la recherche de la diminution du coût du salarié, ce qui entraîne la délocalisation. Le résultat est qu'il y a en France quatre millions de chômeurs, qui, non-payés, ne cotisent pas, alors que s'il était quatre millions de travailleurs à temps plein, il y aurait quatre million de cotisants à temps plein, et les caisses de l'État seraient pleines.
Nous pouvons maintenant clamer qu'il existe des solutions autres que de faire travailler les personnes âgées, notamment par des solutions communistes, concrètes et justes. Il semble désormais inutile de tirer un peu plus sur les retraites, mais qu'il faut au contraire, toucher l'argent à son emplacement et créer de la richesse pour nous.
J'ai donné jusqu'ici les arguments de la gauche, si bien que même les socio-démocrates, le PS, les utilisent. Il faut en donner d'avantage, mais la question est de savoir si, oui ou non, il y a un remède communiste à nos problèmes.
Notre doctrine peut être résumé par "suppression de la propriété privée", certes, mais K.Marx nous permet également d'aller plus loin. On peut donc trouver des solutions communistes au sein de l'économie de marché. Mais celles-ci sont également applicable, en plus d'autre, dans une configuration plus Marxiste de la société.
Au sein de l'économie de marché, on peut introduire le communisme pas à pas, en plusieurs mesures. Les méthodes du mouvement ouvrier, et c'est ce qui fait de lui un mouvement juste, consiste à faire payer ceux qui ont de l'argent, c'est à dire, trouver l'argent où il y en a.
Le financement se fait par des entrées d'argent, comme par exemple, les impôts. Une des solutions peut être, par exemple, une hausse de l'ISF. L'argent immobilisé dans des caisses des bourgeois (terme à prendre au sens marxiste du terme) sera probablement plus utile à l'Etat qu'à eux. Moult impôts injuste demeurent. Chacun sera d'accord avec moi si je vous en parlait d'un qui fait autant payer le milliardaire que le prolétaire. Il en existe pourtant ; son nom est TVA. On peut proposer une suppression de la TVA, ce qui engendrerait une répartition de celle-ci dans d'autres impôts plus justes : proportionnels aux salaires.
On s'est rarement posé la question de savoir qu'est-ce qui paye les retraites. Contrairement à ce qui est clamé, ce n'est pas le nombre de salarié, mais la richesse qu'ils produisent. Puisque ceux-ci ont augmenté leur productivité, pourquoi ne pas augmenter leurs salaires? Ainsi, payés plus, ils cotiseraient plus, et il y aurait plus d'argent dans les caisses de la sécurité sociale.
Tout cela est une question de répartition des richesses. Mais en plus de la répartition, les solutions, qui certes, semblent de plus en plus radicales, peuvent s'accumuler.
Chacun sait que le communisme est en partit fait de nationalisation, ce qui supprime l'économie de marché. Les avantages tirés de cela sur le point du financement sont à observer.
Le privé est le seul à faire des licenciement à une telle intensité. Cela peut s'expliquer par le coût de l'investissement dans le travailleur, opposé à la recherche du profit de l'entreprise occasionné par la concurrence créée par l'économie de marché. Une entreprise publique unique n'a pas de concurrence à l'échelle nationale et peut utiliser le temps gagné sur le profit à être constructif des points de vues social et économique, comme la réduction du chômage.
Le profit de l'économie de marché engendre également la recherche de la diminution du coût du salarié, ce qui entraîne la délocalisation. Le résultat est qu'il y a en France quatre millions de chômeurs, qui, non-payés, ne cotisent pas, alors que s'il était quatre millions de travailleurs à temps plein, il y aurait quatre million de cotisants à temps plein, et les caisses de l'État seraient pleines.
Nous pouvons maintenant clamer qu'il existe des solutions autres que de faire travailler les personnes âgées, notamment par des solutions communistes, concrètes et justes. Il semble désormais inutile de tirer un peu plus sur les retraites, mais qu'il faut au contraire, toucher l'argent à son emplacement et créer de la richesse pour nous.
Dernière édition par THEVS.GIBER.DORCEAN le Mer 10 Nov - 17:36, édité 1 fois